Des amendes dès 8h00, un petit-déjeuner pris sans se presser, des chambres sentant encore la transpiration des affaires mises à sécher, c’est dans ce cadre des plus pittoresques que toute la Première équipe se mit en route, prête à en découdre avec son adversaire du jour Grasshopper Club Zürich. Remis en partie de l’amère défaite de la veille, c’est sous une pluie battante que tous, nous nous mîmes en route vers notre destination.

Après les retrouvailles des joueurs devant nous rejoindre sur place (Papy et Matthieu), la préparation d’avant match put commencer. M. Chambet nous rappelle des points importants, nous donne la composition initiale et c’est parti! Course, stretching dynamique made by Gareth, contacts, passes-contrôles en mouvement, tirs sur Julien et j’en passe, tout les ingrédients d’une bonne préparation sont là pour commencer un match dont le résultat devrait rattraper celui de la veille.

Pluie acerbe, herbe grasse, température affligeante et effectif morcelé s’accordent telle une symphonie wagnérienne pour mieux nous rappeler la dure réalité : nous jouons Steffisburg en quart de finale de Coupe sur gazon naturel. Mais fi de poésie, du sérieux pardi! Certains m’ont en effet demandé d’abandonner mon style lyrique et c’est la mort dans l’âme que je m’apprête à vous révéler les tribulations de cette navrante journée sans fioriture aucune.

Swihossckey avait tiré notre adrsveaire du jour deux semianes aurapavant : Steffisburg. Nous nous étions donc acmmocodés à la perpesctive de jouer sur gaozn natruel depuis longetmps. Le choc fut cepnadnant brutal en décuorvrant le terrain détermpé. Nous nous déicdâmes toufetois à entamer la rencnotre très séireuesment.

Une journée exceptionnelle nous attendait puisqu’à la radio on parlait du 10/10/10. Rendez-vous pluvieux à 9h à Rive pour tout le monde, sauf notre coach, son réveil n’avait pas sonné! Finalement à 9h10 nous étions prêtes à partir. Après 45 minutes de voiture, nous arrivons à Lausanne, et Jordan nous fait un petit speech en nous motivant à rentrer dans le match dès l’échauffement. C’est là que nous avons découvert un terrain vraiment très glissant. Nous avons aussi rencontré l’autre équipe, dont la joueuse la plus âgée avait quatre fois l’âge de notre plus jeune!

Comme si le double week-end précédent à Lugano et Wettingen n’avait pas suffi, les joueurs de la Première équipe se retrouvaient ce dimanche – à nouveau – à 7h00 à la gare de Cornavin. Mais la destination est bien moins lointaine : Olten. Certains s’octroient même une demi heure de sommeil en plus et garnissent ainsi généreusement la caisse de la Première.

C’est sous un ciel bas et un petit crachin inamical que les Servettiens foulent la pelouse du HC Olten. Un adversaire qui, faut-il le rappeler, avait infligé une des plus grosses claques de la saison passée (0-4) à des Grenat passés manifestement à côté de leur match. Il s’agissait donc de ne pas renouveler cet « exploit » en prenant le contrôle des opérations dès l’entame de la partie.

Avec un effectif réduit et les premiers pas en match de quelques débutantes, ce match à Zurich s’annonçait difficile. Il a tenu ses promesses…

After a relatively easy win on Saturday over HAC Lugano for the Swiss Cup a more interesting game was scheduled on Sunday, a game between the defending champions and the cupholder. Not surprisingly the current numbers one and two in the league. The more fanatic supporters know that our level of play in the championship has not been convincing so far with two tiny wins over HC Wettingen and Luzerner SC and a draw against Stade Lausanne last week. Bearing in mind that Rotweiss Wettingen had crushed Black Boys HC (1-7) last week in Geneva we knew we had to be at our very best to stand a fair chance against the favourites for this years championship.

Weekend 5 of the season brought the first "double header" weekend. Round one of the cup on Saturday in Lugano followed by Rotweiss in Wettingen on Sunday. The team were all present and raring to go at 6.50 on Saturday morning for the first leg of the marathon weekend. After 6 scenic hours on the train we arrived to hazy sunshine in Lugano with everybody eager to get the defense of the Swiss cup under way.